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Réveil Communiste

Communiqué PCF Béziers sur le "front de gauche élargi" dans le Languedoc

25 Novembre 2009 , Rédigé par Réveil Communiste


 

En cliquant sur http://bezierspcf.centerblog.net prenez connaissance de différentes interventions prononcées lors de la Conférence régionale des communistes du Languedoc Roussillon tenue le 14 novembre 2009 à Ballaruc dans le cadre de la préparation des élections régionales de mars 2009...


COMMUNIQUÉ PCF BÉZIERS: Pour une avancée décisive du vote anticapitaliste : François Liberti tête de liste régionale Languedoc Roussillon...


Les communistes du Languedoc-Roussillon viennent de se prononcer. Une très large majorité (87,8%) l’a fait pour une liste Front de gauche, les partisans de la poursuite de la politique d’union de la gauche avec le PS sont en très nette minorité (12,2%). Aucun d’entre eux ne pourra être candidats au nom du PCF. Dans les jours à venir agissons fermement pour la mise en place d’une liste d’un Front de gauche élargi menée en Languedoc Roussillon par François Liberti et regroupant l’ensemble des forces se réclamant de l’action antilibérale et anticapitaliste.Les récentes déclarations du NPA insistant sur le caractère spécifique de la situation régionale s’ajoutant à celles de Marie Georges Buffet sur l’impossibilité d’aller avec G. Frêche au premier comme au second tour rendent possible ce rassemblement à vocation majoritaire.


Ne décevons pas l’espoir qui s’est levé dans le PCF et dans la partie la plus radicale de la gauche. Agissons dans les jours qui viennent pour en Languedoc-Roussillon sur la base de notre expérience commune construite en particulier au moment du rassemblement majoritaire pour un « NON à l’Europe du capital » que cette nouvelle étape soit unitaire et victorieuse. Ceux qui se tiendront à l’écart se discréditeront et paieront le prix de la division. Pour ce qui est du PCF, les conseils départementaux doivent se réunir, être pleinement informés et décider, c’est leur rôle. Il en est de même pour le Comité Régional récemment élu.


Ensemble, réunissons nous par localités ou lieux de militantisme traditionnels, comme nous l’avons fait jeudi 19 novembre à Frontignan( PCF, NPA, PG, FASE, MPEP), comme nous le faisons à Béziers. Ne laissons pas des états-majors régionaux ou parisiens décider à notre place.

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E
<br /> Je mets ça ici parce qu'il me semble y avoir un rapport.<br /> Devant l'accumulation, on finit par se demander s'il s'agit d'opportunisme électoraliste, d'ignorance, ou d'un choix conscient.<br /> <br /> Trouvé sur Vive le PCF<br /> <br /> <br /> Albert Camus au Panthéon :<br /> réactions à la réaction du Bureau de presse du PCF<br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> Plusieurs de nos lecteurs se sont étonnés et offusqués de la déclaration du Bureau de presse national du PCF datée du 20<br /> novembre 2009 à propos du transfert envisagé par N. Sarkozy de la dépouille d’Albert Camus au Panthéon.<br /> <br /> <br /> Notamment de cette phrase qui précède de peu une évocation de Guy Môquet: « Albert Camus, c’est la révolte,<br /> la liberté, le combat pour l’Algérie ».<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> En effet ! Jusqu’au bout, notamment dans son mémoire « Algérie 1958 », Camus s’apitoie certes sur les<br /> injustices passées du colonialisme mais nie tout droit national et même toute existence nationale au peuple algérien. Il ne dénonce pas la guerre colonialiste, n’envisage pas d’avenir autrement<br /> que sous la domination de la France.<br /> <br /> <br /> Il serait inconcevable, qui plus est pour nous communistes, de faire de Camus une figure morale de<br /> l’anticolonialisme.<br /> <br /> <br /> De Camus, qui, pour reprendre la phrase célèbre renvoyée aux étudiants algériens à Stockholm après que l’Académie Nobel<br /> lui a décerné son prix, « défendrait sa mère avant la justice »<br /> <br /> <br /> De Camus qui met en garde en 1958 le gouvernement français devant des décisions en Algérie qui<br /> signifieraient « pour la nation française le prélude d’une sorte de mort historique et, pour l’Occident, le risque d’un encerclement qui aboutirait à la kadarisation de l’Europe et<br /> à l’isolement de l’Amérique ».<br /> <br /> <br /> Qu’Albert Camus fut un « immense écrivain », cela ne nous pose pas question.<br /> <br /> <br /> Que Sarkozy et ses conseillers cherchent à récupérer la mémoire de « grandes figures françaises », c’est<br /> sûr.<br /> <br /> <br /> Mais le PCF ne saurait reprendre à l'inverse la mémoire d’un « homme de gauche » qui fut atlantiste,<br /> anticommuniste, opposé aux droits du peuple algérien…<br /> <br /> <br /> Camus n’appartient pas au Panthéon des militants anticolonialistes pas plus qu’au Panthéon des<br /> communistes.<br /> <br /> Le communiqué en question<br /> <br /> Albert Camus au Panthéon : réaction du PCF<br /> <br /> Par : Bureau de presse<br /> Mis en ligne : 20 novembre<br /> <br /> <br /> <br /> Thèmes : Culture | Mémoire<br /> <br /> <br /> <br /> <br /> Le président de la République a<br /> confirmé son souhait de transférer la dépouille de l’écrivain Albert Camus au Panthéon à l’occasion du 50ème anniversaire de sa mort.<br /> <br /> <br /> L’auteur de « la peste » est un immense écrivain. Albert Camus, c’est la révolte, la liberté le combat pour l’Algérie. « L’une des seules positions philosophiques cohérentes, c’est<br /> ainsi la révolte » écrit-il dans le « Mythe de Sisyphe ».<br /> <br /> <br /> Après avoir tenté d’instrumentaliser la mémoire du jeune résistant communiste Guy Mocquet, Nicolas Sarkozy continue de tenter de capter de grandes figures françaises à des fins de récupération<br /> politicienne. Pas sûr qu’il y arrive. A l’heure des sinistres charters du ministre de l’immigration et de l’identité nationale renvoyant des afghans dans leur pays en guerre, reconnaissons qu’il<br /> est tout de même difficile d’enrôler l’auteur de « l’étranger ».<br /> <br /> <br /> Parti communiste français<br /> Paris, le 20 novembre 2009. <br /> <br /> Remarque supplétive: le génie qui a pondu ce communiqué semble croire que L'étranger est un roman sur la condition des t<br /> <br /> <br />
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D
<br /> Pour moi concéder (sur des bases électoralistes je pense) aux nostalgiques de l'OAS ce n'est pas supportable. Dans ce domaine on ne s'en sort pas avec une pirouette verbale. Souvenez-vous de<br /> Charonne et demandez à Liberti de s'expliquer sur sa position. Merci <br /> <br /> <br />
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G
<br /> l'isolement politique n'est jamais bon, et les camarades de Béziers savent ce qu'ils font (ils ne sont pas en reste sur la lutte contre les nostalgqiues de l'OAS) et Liberti c'est mieux que Gayssot<br /> avec Frèche.<br /> <br /> Mettons tout lemonde d'accord : pour les appelés et les gendarmes je propose "tués pour le colonialisme" et pour les manifestants de la rue d'Isly je propose "morts à cause de la France". Personne<br /> n'est mort pour la France là-bas.<br /> <br /> <br />
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D
<br /> Pour en savoir plus sur l'épisode évoqué ci-dessus par Emmanuel et ne pas perdre la mémoire, cliquez ICI<br /> <br /> Salut et fraternité<br /> DIABLO<br /> <br /> <br />
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E
<br /> Liberti, ce n'est pas le gars qui, quand il était député, voulait que les morts de la rue d'Isly en 62 fussent reconnus comme morts pour la France ?<br /> <br /> <br />
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