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Réveil Communiste

Enfants de Gaza (poème en audio et texte)

14 Avril 2025 , Rédigé par Réveil Communiste Publié dans #Asie occidentale, #lutte contre l'impérialisme, #GQ, #Art et culture révolutionnaires

Enfants de Gaza (poème en audio et texte)

Ôtez moi ce goût amer !
Ça siffle au dessus des têtes
Au nom de quel dieu ?
Au nom de quel territoire ?
tueries boucheries massacres
bottes des hommes kakis
Écrasée l'enfance,
la beauté d'une mère
la bonté d'un père
Plus jamais ça qu'ils disaient
Ça ? Quoi ça ?
déchirés mutilés
les corps d'enfants
Ah le vert paradis
des amours enfantines
l'innocent paradis
plein de plaisirs furtifs
qu'en ont ils fait !
Hein Baudelaire mon ami ?
Pleure poète ! Dis l'innommable !
Leurs langues lourdes liées les unes aux autres
par leurs mensonges torves
leur vérité distillée tel un poison
dans nos âmes réversibles
Plus jamais ça qu'ils disaient
en rire
en pleurer

Plus rien !
Silence de mort
Sous les décombres
l'ours en peluche
rescapée, la poupée
pas la petite fille
pas le petit garçon
ni la mère
ni le père
oncles tantes cousins cousines
c'est terminé
Aux actualités on passe vite à autre chose
les ondes bourdonnent
on va chercher de quoi faire son miel
Ailleurs
le sang sèche vite
on oublie, on tourne la page
on s'en lave les mains
les yeux, les oreilles
Les mots défilent sur les écrans
vides
avides
Les corps s'effacent
mémoire balbutiante de l'humanité
cruauté des hommes de fer et d'argent
pauvres de nous
monde en charpie !
plus rien
rien

PN, mai 2024

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B
TERREUR A JABALIA !!!!!! OUI LA BETE IMMONDE RESSURGI EN PALESTINE !!!!!!<br /> <br /> Berthold Brecht dans sa pièce « La Résistible Ascension d’Arturo U » fustige les minables politicards qui, déjà dès fin 1945, fermaient les yeux sur la résurgence du fascisme.<br /> ****** « Vous, apprenez à voir, plutôt que de rester les yeux ronds.<br /> « Agissez au « lieu de bavarder.<br /> « Voilà ce qui aurait pour un peu dominé le monde !<br /> « Les peuples en ont eu raison, mais il ne faut pas nous chanter victoire, « il est encore trop tôt .<br /> « LE VENTRE EST ENCORE FECOND D’OU A SURGI LA BETE IMMONDE <br /> En ce novembre 2024, soit plus de quatre vingts ans depuis la défaite sans condition du troisième reich hitlérien nazi « LA BETE IMMONDE »A RESSURGI AU SEIN DE L’ETAT SIONISTE ISRAELIEN QUI PRETEND ERADIQUER PAR LES BOMBARDEMENTS, LES EPIDEMIES ET LA FAMINE LE PEUPLE PALESTINIEN ET TOUTES LES POPULATIONS DES PAYS CEINTURANT LA PALESTINE DANS LE BUT DE CREER LE GRANS ISRAEL.<br /> <br /> C’est exactement le même scénario que celui qui était l’objectif du reich allemand de 1933 à 1945, à savoir éradiquer la population de l’URSS, s’approprier ses immenses territoires et FAIRE MAIN BASSE SUR SES INEPUISABLES RICHESSES MINIERES ET AUTRES.<br /> <br /> Et à travers le temps l’avertissement de Bhertold Brecht fouette férocement, la lâcheté de nos ignobles « zélites » qui font les jésuites, à quelques rares exceptions, sur la résurgence du fascisme et sur leur complicité active des crimes de guerre et des crimes contre l’humanité qui sont mis en œuvre par l’état assassin de masse israélien.<br /> <br /> <br /> Récits de terreur à Jabalia<br /> Par Husam Maarouf<br /> Arrêt sur info — 05 novembre 2024<br /> L’assaut d’Israël sur le nord de Gaza a forcé des dizaines de milliers de personnes à quitter leurs maisons, ici le 25 octobre.<br /> C’est l’apocalypse.<br /> C’est ainsi que les habitants décrivent la situation à Jabalia et dans le nord de la bande de Gaza, alors que l’offensive israélienne approche de son deuxième mois.<br /> Israël a ordonné à tous les habitants de se diriger vers le sud, mais a également érigé des points de contrôle empêchant les gens de se déplacer.<br /> Sur les 400 000 personnes qui se trouvaient dans le nord au début de l’offensive, début octobre, plus de 100 000 seraient restées.<br /> Israël a pratiquement coupé l’aide humanitaire au territoire dans une tentative apparente d’affamer la population.<br /> Il a bombardé avec insistance, tuant quelque 1 200 personnes au cours des quatre dernières semaines, dont plus d’une centaine en une seule frappe sur une maison pour personnes déplacées à Beit Lahiya le 30 octobre, ainsi que 150 en une série de frappes sur 10 bâtiments à Jabalia le 24 octobre.<br /> « Vous ne pouvez pas imaginer ce qui se passe à Jabalia », a déclaré Nadia al-Kafarna, 69 ans. « Le ciel est noir de fumée et le sol est brûlé ».<br /> Nadia a répondu à The Electronic Intifada par téléphone, malgré un réseau instable. L’armée israélienne l’a forcée à quitter son abri dans le camp de réfugiés de Jabalia le 17 octobre, mais elle se trouve toujours dans la ville de Gaza, au nord.<br /> « Rien n’a été épargné par la destruction. Les bruits d’explosion sont étranges, différents de ceux d’avant, terrifiants et secouant les os, comme s’ils allaient vous déchirer », a déclaré Nadia, profondément bouleversée. « En moi, tout est brisé par l’horreur de ce que j’ai vu. Aujourd’hui encore, mon cœur est serré et je suis saisie par la peur ».<br /> L’apocalypse, dit-elle. « J’ai été témoin d’horreurs apocalyptiques« .<br /> Une agression implacable<br /> Nadia a déclaré que les soldats n’avaient « aucune pitié […] Il y a des corps en décomposition de femmes et d’enfants dans tout le camp [de réfugié], dans les maisons et dans les rues ».<br /> L’armée israélienne n’a épargné personne. Mahmoud Basal, de la défense civile de Gaza, a déclaré que toutes les opérations dans la région nord ont dû être interrompues à la suite des attaques des forces israéliennes, qui ont fait au moins trois blessés, tandis que plusieurs personnes ont été arrêtées.<br /> Il n’y a pratiquement plus d’eau ni de nourriture dans le camp. Selon les Nations unies, Israël a empêché 83 % de l’aide humanitaire d’entrer dans le nord en septembre. Les habitants de Jabalia souffrent douloureusement de la faim, beaucoup d’entre eux ayant recours à des pierres attachées à leur estomac pour atténuer les douleurs de la faim – une pratique enracinée dans la tradition prophétique.<br /> Les habitants du camp ont également soif, car l’eau potable qui arrive dans le camp est limitée. Rachel Cummings, de Save the Children International, qualifie la situation d’« absolument catastrophique ».<br /> « Les gens sont constamment bombardés par des attaques aériennes et, bien sûr, nous savons que la nourriture et l’eau ne sont pas suffisantes. Les convois de nourriture et d’eau sont interdits d’accès dans le nord… C’est absolument catastrophique », a déclaré Mme Cummings.<br /> Nadia a qualifié les bombardements d’incessants.<br /> « Les bombardements n’ont jamais cessé, jour et nuit, sans pitié ni humanité. Nous avons récité des prières en permanence, sentant la mort plus proche que jamais à chaque explosion terrifiante », a-t-elle déclaré.<br /> « Nos journées sont longues, ma famille et moi luttant contre la faim, la soif et la peur. Nous nous contentons de morceaux de pain que nous faisons cuire à l’intérieur de la maison, sur un feu ouvert. Le pain et le zaatar ont été notre seule subsistance pendant plus de deux semaines ».<br /> L’apocalypse<br /> Nadia a dressé un tableau apocalyptique de la situation à Jabalia : des visages pâles à cause du manque de sommeil, des enfants avec des noms écrits sur leurs bras pour les identifier, et une peur constante.<br /> Obligée de quitter sa maison, Nadia a raconté que sa famille – ses trois fils, leurs femmes et leurs enfants, noms inscrits sur les bras – avait eu dix minutes pour se conformer à un ordre militaire d’évacuation.<br /> « J’ai perçu le tremblement collectif et entendu des parents murmurer des prières pour demander la protection de Dieu alors que nous partions. J’ai regardé le visage de mes enfants et de mes petits-enfants en pensant que c’était peut-être la dernière fois que je les voyais ».<br /> Et, comme d’autres l’ont rapporté, quitter Jabalia a ajouté son lot d’horreurs.<br /> « À l’entrée de notre allée, des chars étaient amassés, ainsi qu’un grand nombre de soldats. La scène ressemblait à un abattoir : les hommes étaient rassemblés, déshabillés jusqu’à leurs sous-vêtements, les mains attachées dans le dos, puis les yeux bandés. À proximité se trouvait une fosse profonde où les mères étaient retenues sans leurs enfants, tandis que les enfants pleuraient et criaient depuis une troisième zone ».<br /> Il y avait une quatrième zone, a-t-elle ajouté.<br /> « Il y avait un quatrième tas – un tas de corps empilés à l’entrée de la maison de mes voisins, plus de cinquante cadavres presque nus exécutés plus tôt. J’aurais préféré ne pas voir ça. »<br /> Un soldat appelle Nadia par haut-parleur.<br /> « Il m’a ordonné d’aller vers le sud et m’a menacée de me tuer si je ne faisais pas vite. Lorsque je me suis risquée à lui demander des nouvelles des enfants, de ma fille et de mes belles-filles, il m’a autorisée à les emmener avec moi. Mais tous les hommes sont restés sur place, sans qu’on sache ce qu’ils sont devenus, entre les mains de tueurs ».<br /> Un miracle<br /> M.D., 57 ans, a refusé de révéler son nom par crainte de représailles. Il pense que lui et son fils de 15 ans ont survécu « par miracle » aux soldats et aux drones qui ont envahi le camp de Jabalia.<br /> « Lorsque j’ai appris que les forces israéliennes avançaient dans notre quartier, mon fils et moi avons emprunté des chemins détournés à travers le camp pour nous rendre dans une zone plus sûre au nord de Gaza. Alors que nous pensions être en sécurité, nous avons vu que des soldats bloquaient la fin de la route que nous avions empruntée. Nous avons légèrement reculé et nous nous sommes abrités dans une maison dont la porte était cassée ».<br /> À l’intérieur, raconte-t-il, il a vu quatre corps.<br /> « Deux hommes et une femme, exécutés par balles, et une femme âgée laissée à mourir de faim dans une pièce. Elle semblait alitée, en mauvaise santé, laissée seule lutter contre la mort. Nous avons passé une nuit entière piégés parmi les morts, incapables de dormir et de partir. Les soldats étaient assis devant la porte, riant et jouant, comme s’ils étaient à un pique-nique ».<br /> Ils ont profité d’un moment où les soldats ont changé de quart.<br /> « Nous avons réussi à nous échapper en traversant la route et en nous dirigeant vers la ville de Gaza. Je n’arrivais pas à croire que nous avions survécu ! J’avais l’impression qu’on m’avait accordé une nouvelle vie ».<br /> Néanmoins, M.D. a été marqué par cette expérience. En réfléchissant à sa survie, il dit que le pire n’a pas été de passer une nuit « parmi les morts », ni la mort et la destruction qu’il a vues. « Je n’ai pas pu donner à mon fils un sentiment de sécurité. Je lui ai caressé la tête en lui murmurant : « Tout ira bien ». Mais il a été témoin de la mort et de tourments terrifiants. Il ne parle plus depuis des jours et se trouve dans un état de détresse extrême.<br /> La plupart des habitants de Jabalia ont refusé de partir. Ils considèrent leur départ comme déraisonnable et affirment qu’ils sont enracinés dans leur terre.<br /> S.K., 49 ans, qui ‘a pas voulu donner son nom, est l’un de ceux qui ont refusé de partir. Sa maison, dit-il, est encerclée.<br /> « Les soldats israéliens ne sont qu’à quelques centaines de mètres. Ils tuent de sang-froid des femmes, des enfants et des personnes âgées, ils font tomber du béton et de l’acier sur la tête d’innocents. Ces soldats ne font preuve d’aucune compassion. Ils sont le dragon du mal de notre époque ».<br /> Il y a des dragons<br /> S.K. tient absolument à rester dans sa maison.<br /> « Rien ne justifie que l’on m’expulse de chez moi par la force. Le camp n’est pas un champ de bataille. Je ne quitterai pas ma maison et la terre de mes ancêtres. Je reste ici comme un arbre dont les racines s’enfoncent chaque jour davantage. Je ne peux être déraciné que par la mort ».<br /> Mais sa détermination a un prix, car l’armée israélienne cherche à affamer les gens.<br /> « La plupart du temps, j’ai des vertiges », a déclaré S.K. « Ma vue se brouille à cause du manque de nourriture. Nous ne mangeons que du pain et du zaatar. Chaque fois que je pense à mes enfants qui endurent ces privations et ce danger, je pleure. Comment peut-on accepter qu’un enfant soit soumis à une telle brutalité ? ».<br /> Il ajoute que les habitants de Jabalia sont privés de sommeil et terrorisés par l’armée israélienne.<br /> « Croyez-moi quand je vous dis que depuis que l’extermination de ce camp a commencé, nous n’avons pas dormi. Les bombardements sont constants et les obus pleuvent dans un fracas insupportable qui nous remplit d’effroi. Imaginez une sensation de piqûre sur tout votre corps en même temps. C’est la peur que nous vivons ».<br /> Des drones planent constamment dans le ciel au-dessus du camp, dit-il, se déplaçant entre les maisons, descendant et remontant, ciblant tout ce qui bouge. D’innombrables corps sont abandonnés. Des animaux aussi – ânes, chats et chevaux – ont été abandonnés pendant des jours, leurs carcasses se décomposant.<br /> « Nous avons peur de sortir, de regarder par la fenêtre ou d’allumer la lumière la nuit. Ici, tout est une cible, les drones s’en prennent à nous. À quelques mètres de ma maison, il y a un corps. Je ne peux pas sortir pour l’enterrer, et de nombreuses personnes ont été laissées en train de se vider de leur sang dans les rues et les maisons du camp ».<br /> Le fait que tant de personnes soient déterminées à rester malgré le massacre pour éviter le sort de leurs parents ou de leurs grands-parents, qui ont été chassés de leurs maisons et de leurs terres pour ne jamais être autorisés à y retourner, montre à quel point la leçon de la Nakba de 1948 est ancrée chez les habitants de Jabalia.<br /> « Je ne quitterai ma maison sous aucun prétexte, malgré ma peur intense », a déclaré S.K..<br /> « Nous avons l’impression d’être au Jugement dernier. Nous ne sommes pas en sécurité ; nous sommes menacés de mort, même si nous ne combattons pas. Nous sommes en train de mourir ici, sans que personne ne vienne nous sauver ».<br /> Husam Maarouf, journaliste et écrivain à Gaza.<br /> Source: Electronicintifada.net, 4 Novembre 2024<br /> <br /> <br /> <br /> Berthold Brecht dans sa pièce « La Résistible Ascension d’Arturo U » fustige les minables politicards qui, déjà dès fin 1945, fermaient les yeux et poussaient à la résurgence du fascisme.<br /> ****** « Vous, apprenez à voir, plutôt que de rester les yeux ronds.<br /> « Agissez au « lieu de bavarder.<br /> « Voilà ce qui aurait pour un peu dominé le monde !<br /> « Les peuples en ont eu raison, mais il ne faut pas nous chanter victoire, « il est encore trop tôt :<br /> « LE VENTRE EST ENCORE FECOND D’OU A SURGI LA BETE IMMONDE <br /> <br /> En ce novembre 2024, soit plus de quatre vingts ans depuis la défaite sans condition du troisième reich hitlérien nazi « LA BETE IMMONDE »A RESSURGI AU SEIN DE L’ETAT SIONISTE ISRAELIEN QUI PRETEND ERADIQUER PAR LES BOMBARDEMENTS, LES EPIDEMIES ET LA FAMINE LE PEUPLE PALESTINIEN ET TOUTES LES POPULATIONS DES PAYS CEINTURANT LA PALESTINE DANS LE BUT DE CREER LE GRANS ISRAEL.<br /> <br /> C’est exactement le même scénario que celui qui était l’objectif du reich allemand de 1933 à 1945, à savoir éradiquer la population de l’URSS, s’approprier ses immenses territoires et FAIRE MAIN BASSE SUR SES INEPUISABLES RICHESSES MINIERES ET AUTRES.<br /> <br /> Et à travers le temps l’avertissement de Bhertold Brecht fouette férocement, la lâcheté de nos ignobles « zélites » qui font les jésuites, à quelques rares exceptions, sur la résurgence du fascisme et sur leur complicité active des crimes de guerre et des crimes contre l’humanité qui sont mis en œuvre par l’état assassin de masse israélien.
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B
Les enfants Palestiniens pris pour cibles par le gouvernement fasciste/nazi israélien.<br /> <br /> Je me pose une question, toujours sans réponse : Suite aux atrocités commises par « l’armée la plus morale du monde » à l’encontre de la population Palestinienne, DES MILLIERS D’ENFANTS , DONT DES NOURRISSONS, SONT ORPHELINS.<br /> <br /> Comment l’organisation administrative du Hamas s’occupe-t-elle de ces milliers d’orphelins ?? au milieu des « ruines » que devient le territoire de Gaza.<br /> <br /> De mes investigations dans l’Histoire j’ai appris que la jeune URSS, dès 1917, suite à l’intervention étrangère des quatorze pays occidentaux qui ne laissait derrière elle que ruines et violences, , face à des milliers d’enfants orphelins, errants, traumatisés, avait pris ce problème à bras le corps dans le but de leur redonner la joie de vivre qui est l’apanage de l’enfance.<br /> <br /> Mais face aux atrocités indicibles perpétrées par les colonialistes israéliens ( meurtres des familles, bombardements répétés) la marge de manœuvres pour venir en aide à ces milliers d’orphelins est plus que ténue.<br /> <br /> Toutefois, vu l’humanisme qui émane du fonctionnement du Hamas, ( il combat pour sa liberté et son combat n’a pas pour but la vengeance ) j’ose espérer que ces milliers d’enfants orphelins sont mis à l’abri dans le but de leur redonner la joie de vivre.
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B
Les enfants de la guerre pourront-ils, lorsque le capitalisme assassin aura été enfin éradiqué, retrouver la joie de vivre ????
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B
A l’issu de près de neuf mois des destructions impitoyables perpétrées par l’état sioniste assassin au sein de la bande de Gaza, dont l’éradication pratiquement complète du secteur de santé, PRES DE DIX NEUF MILLE ENFANTS, DONT DES TOUS PETITS, SE RETROUVENT ORPHELINS.<br /> <br /> Nuits et jours, la population Palestinienne est bombardé sans retenue dans le but d’accélérer le nettoyage ethnique et le génocide qui a débuté en 1947, mais en réalité dès 1920. Détruire l’enfance fait partie de la stratégie génocidaire mise en œuvre par le sionisme israélien assassin.<br /> <br /> Israël ne pourrait pas perpétrer en toute impunité le génocide et les meurtres de masse des Palestiniens si la grande finance des Etats Unis arrêtait toute aide militaire et financière au régime sioniste nazi assassin de masse.<br /> <br /> Je persiste et je signe, la Résistance Palestinienne va bouter hors l’état colonialiste occupant sioniste, MAIS le gouvernement issu de la Résistance Palestinienne unie, outre de ramener Paix et Harmonie en Palestine libre, va devoir mettre en place, d’urgence, un programme pédagogique de qualité pour rendre à ces dix neuf mille orphelins le sourire et la joie de vivre qui doit être l’apanage de l’enfance.
R
le lien audio fonctionne maintenant, c'est une video noire vimeo
R
le lien audio ne fonctionne pas, on est en train d'y remédier