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Réveil Communiste

Après les cinglantes défaites électorales du PCF, éléments pour un programme populaire communiste capable de faire pièce au FN (et au-delà)

27 Avril 2016 , Rédigé par Réveil Communiste Publié dans #GQ, #Élections, #Réseaux communistes

Dès l'origine et par son nom même, le FN usurpe la représentation du prolétariat en France. Noter son silence assourdissant sur le "Loi travail" . Ci -dessus un tract de la résistance communiste en 1943.

La principale difficulté pour faire passer ce message tient à la fausse conscience de nombreux militants de gauche imbus de leur moralité, comme ces américains aujourd'hui qui vont pourrir les meetings de Trump, qui quoiqu'on pense de lui est pourtant en train de dynamiter ce qu'ils devraient considérer comme leur ennemi principal, le Parti Républicain.

Le texte ci-dessous a été élaboré entre 2013 et 2014 et légèrement modifié en mars 2016.

Scores du candidat communiste à Brignoles (Var) entre 2012 et 2013  : élu en 2012 avec un peu plus de 50% au deuxième tour, le candidat communiste est éliminé au premier tour, malgré l'appui du PS l'année suivante, permettant l'élection du candidat du FN.

Republié après l'issue désastreuse des municipales de mars 2014 pour le PCF qui a perdu, d'après Martelli, 30% de ses mairies. Et la législative partielle de Valenciennes, un Brignoles bis.

Le PCF reste sourd et aveugle au message populaire le plus clair qui soit, comme il l'est depuis 1997 quand il a vendu sa position juste contre l'Union européenne pour le plat de lentille de l'entrée au gouvernement.

Ce texte propose de rompre avec un certain nombre de lieux communs du discours de la gauche de la gauche. Bien évidemment, il ne propose pas d’aller sur le terrain du FN, mais de le combattre réellement, c’est à dire de sortir de la bulle morale des gauchistes et des sociaux démocrates (qui sont les mêmes, mais pas au même âge sans doute). Un de ces lieux communs est de revendiquer de manière irresponsable la régularisation de tous les sans-papiers. Un autre est de dénoncer "le discours de l’insécurité" au lieu de l’insécurité elle-même. Et un autre consiste à lutter contre ceux qui luttent pour la laïcité au lieu de lutter contre l’intégrisme. 

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Comment expliquer les succès électoraux de l’extrême droite ?

 

A l’heure où de nombreux électeurs « de gauche », en fait socialistes, n’hésitent plus à voter FN au second tour d’une partielle, et où abstention et vote nul, dans un climat de fort mécontentement, atteignent 60 ou 70%, posons-nous la question : qu’est ce qui éloigne des urnes l’électorat populaire, ou le pousse dans les bras du FN, dont la nature profonde est antisociale, ce dont ces électeurs, dans le fond se doutent bien. Et pourquoi fuient-ils le Front de Gauche, malgré les efforts médiatiques de son principal porte-parole pour jouer au « bad boy » ?

Il me semble que le vote FN, quand il va au-delà de l’électorat traditionnaliste conservateur et raciste, n’est paradoxalement que la forme la plus naïvement « civique », parce qu’elle vote encore, d’un rejet total de la classe politique, « classe » qui n’est pas autre chose qui le parti multiforme et redondant de la bourgeoisie dans ce pays, et dans toute l’UE d’ailleurs. Quant à ceux qui ne votent pas, ils sont devenus des adversaires de la démocratie entendue au sens libéral, comme un système dont l’unique finalité est de légitimer des dominations oligarchiques.

Le vote FN est un leurre : il n’est au fond que le vote indiqué par les médias et les politiques à ceux qui sont mécontents des médias et des politiques. Il est illusoire et naïf de penser ( comme le blogueur Descartes) que de nouveaux cadres dépourvus de tendances fascistes vont affluer dans ce parti avec sa croissance électorale, en prenant au premier degré son discours récupérateur des thèmes de la gauche ouvrière. Ce parti n’est que la maison de famille des le Pen, qui est bien gardée.

Mais ce vote ne se porterait pas précisément sur ce parti s’il n’avait pas su intelligemment tromper son monde en reprenant des thèmes et des demandes laissés en déshérence par la gauche et plus particulièrement par le PCF. Je regrette mais les principaux fautifs de la monté du FN, c'est donc nous.

-         -  Critiques de l’UE et de ses empiètement sur la souveraineté nationale (et il n’y a pas de démocratie sans nation pour en servir de cadre).

-         - Critique des délocalisations, affirmation du « produisons français ».

-         -  Insécurité : depuis une génération ce parti se présente comme le défenseur des classes populaires qui en sont les victimes désignées. Et la dénégation aveugle de ce problème de la part de la gauche et surtout de la gauche de la gauche n’a pas peu contribué à son déclin.

-          -  Le FN est devenu le seul parti de masse à protester contre les aventures impérialistes et criminelles de la France de Sarkollande en Libye et en Syrie. Pour de mauvaises raisons sans doute mais il est le seul.

    -  Enfin, la critique de l’immigration devenue taboue à gauche et dont il faut dire deux mots.

 

En 1975, le racisme était beaucoup plus répandu dans la population, on pouvait tenir une rubrique hebdomadaire des meurtres racistes, et pourtant les gens ne votaient pas pour les partis racistes.

Le thème de l’immigration n’avait que peu de prise sur l’électorat populaire de gauche, quelques fussent les préjugés qui pouvaient y régner, tant qu’il était tenu pour acquis qu’elle avait vocation à l’intégration massive à la société française et au peuple de France. Ceux qui penchaient pour l’extrême droite étaient les Français les plus bornés qui refusaient cette intégration annoncée de millions de nouveaux Français, notamment noirs et /ou musulmans.

Depuis qu’il apparait qu'à la suite de facteurs objectifs (chômage de masse) et subjectifs (développement dans l’immigration et dans la deuxième génération des idéologies communautaristes et religieuses) que cette intégration est en panne, ou tout au moins se trouve traversée de difficultés inattendues et considérables, une nouvelle xénophobie populaire est apparue dont la base n’est pas traditionnaliste, catholique et raciste, mais de tradition républicaine et laïque.

A tort ou à raison, de nombreux français redoutent une islamisation rampante du pays et choisissent le vote FN pour s’y opposer. Cette islamisation a peu de chance de se produire, mais après tout c’est le but affiché des groupes islamistes radicaux qui ne reculent devant aucun crime dans la poursuite de leurs objectifs irrationnels et qu’il faut donc bien combattre. Or la gauche de la gauche refuse absolument d'affronter le problème, elle refuse même de le poser et tente de diaboliser ceux qui le fond.

 

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Établir une plate-forme populaire susceptible de contrer le populisme d’extrême droite

 

Il n’y pas d’alternative à une plate forme qui reprenne à ce programme populiste ce qui est légitime, et qui ne sert dans le discours de propagande FN qu’à faire passer le reste du programme implicite mais inchangé : racisme, anticommunisme, réaction antidémocratique et antisociale. Les communistes s'ils veulent exister doivent mener une campagne résolument "populiste", même si les "bobos" se bouchent le nez et même si le PS ne leur propose plus de postes d'adjoints.

Sur la nation :

Une campagne résolue pour sortir de l’euro de l’UE et de l’OTAN qui limitent déjà la souveraineté nationale et mettent en danger son avenir à brève échéance.

Sur la sécurité :

Renoncer au tabou de la répression, et construire un projet ambitieux et cohérent qui prenne le problème au sérieux, s'attaque à ses racines, en l’articulant avec l’éducatif, et rompre avec la vulgate angéliste sur cette question, d’origine gauchiste et bourdieusienne, où des paroles compassionelles envers les jeunes délinquants masquent une indifférence totale à leur destin réel.

Sur les questions de mœurs et de droits des minorités :

Revenir à une neutralité conduisant à les dépolitiser. A rebours du foucaldisme, dépolitiser la sexualité et ses manifestations sociales.

(Ouvront une parenthèse : on doit reconnaître qu'avec l’élection d’un politicien noir banal de centre gauche, impérialiste et bien décevant à la tête des États-Unis, s'est produite la fin symbolique de la violence symbolique raciste. Comme Thatcher avait signalé la fin de la misogynie institutionnelle en Occident, bien malgré elle. Le cycle des réformes sociétales post 68 est achevé dans les pays occidentaux, et il n’y a plus rien à gagner comme avancées légales sur les questions de sociétés (antiracisme, féminisme, libération sexuelle). Le vrai moyen d’améliorer la condition des femmes, des Noirs, des musulmans en France maintenant, c’est de revenir sur la liquidation de services publics, de restaurer la sécurité sociale, et de supprimer le chômage, qui frappe en premier ces groupes en voie d'intégration , mais qui pour le moment n’héritent encore guère de capital. Le vrai moyen de supprimer l’homophobie et l’antisémitisme, ce n’est pas la promotion du droit à la différence qui peut être interprété comme la revendication de privilèges, mais la création des conditions sociales du droit à l’indifférence.)

Sur la laïcité :

Soutenir concrètement les mesures légales qui interdisent la prolifération de pratiques religieuses ostentatoires, souvent dégradantes, qui renforcent le communautarisme, et choquent les usages populaires français, ce qui développe le fascisme autochtone en réaction. Chaque Burqa qui circule apporte des milliers de voix au FN, et la tolérance gauchiste pour ce symbole obscurantiste est … intolérable !

Interdire le financement des cultes par l'étranger, concrètement le financement des mosquées par les pétromonarchies du Golfe, et celui des églises évangélistes par des associations dont la direction se trouve aux États-Unis.

Réprimer résolument les courants politico-religieux qui cherchent à communautariser l’immigration, et qui propagent le terrorisme. Ce n’est pas parce que ces courants sont stigmatisés par les médias dominants qu’ils sont bons.

Sur l’immigration :

Reconnaître qu’elle est encouragée par le MEDEF pour diviser la classe ouvrière et faire pression à la baisse sur les salaires, et en conséquence proposer un ralentissement de son rythme pour relâcher cette pression, permettre le développement des pays de départ, et l’intégration des immigrés déjà présents et de leurs enfants.  Ce qui suppose de lutter contre l’immigration illégale, en commençant par réprimer impitoyablement les employeurs, les entreprises comme les particuliers, les donneurs d’ordre qui profitent de la situation (comme la Mairie de Paris, qui a fait construire le tram T3 par des sans-papiers!), les mafias, mais aussi en renonçant à la régularisation systématique des clandestins qui encourage les migrations dans les pires conditions. Il ne devrait pas être difficile de mettre sur pied des critères à la fois justes et restrictifs. Mais ils ne seront guère utilisés, car l'immigration s'arrête net quand l'offre d'emploi cesse, comme on a pu le constater en 2009 avec la crise économique.

Souveraineté :

Renouer avec l’indépendance politique et économique de la France. Sur l’Europe, proposer la sortie de la France, le retour au franc, et la constitution de nouvelles alliances avec les BRICS et les autres pays sans exclusive, renouer avec une politique d'amitié avec le monde arabe et l'Afrique et le monde émergent. Quitter l'OTAN qui soumet l’armée au contrôle étranger.

Produire en France :

Réindustrialiser, réorienter l’économie vers la production de biens utiles consommés sur place. Ce qui impliquerait aussi une politique de retour massif de la puissance publique dans l’économie, incompatible avec le discours antifiscal du FN. Et serait de facto, au grand dam des soi-disants "écologistes" une mesure écologique de grande portée.

Ce qui conduit à rendre à l’État ses prérogatives économiques :

Renationaliser pour les restaurer les services publics et les mettre au service de tous. Nationaliser les banques et confier les groupes médiatiques à leurs salariés pour désarmer l’oligarchie.

La nouvelle ère est celle de la lutte pour la décolonisation universelle, de l’émancipation des nations contre le capitalisme anglo-saxon et transnational, une lutte sociale et patriotique où tous peuvent se retrouver, quelque soient la religion, la couleur de peau, le sexe, l'orientation sexuelle. Le patriotisme a le vent en poupe. Il ne faut pas le laisser au FN, héritier lointain de toutes les trahisons nationales, de Coblence à Versailles, de la collaboration à l'OAS.

Les luttes « sociétales » qui enfoncent les portes ouvertes une fois les droits civiques accordés à ceux qui étaient discriminés, ce qui est en Occident le cas partout, manquent leur but, divisent le peuple, et ne font plus que manifester les ambitions sectorielles de la petite bourgeoisie de gauche qui mène ces luttes faciles, et l’individualisme de masse qui soumet les peuples au règne de la marchandise, dont ils ne pourront s’émanciper qu’en construisant à nouveau le socialisme.

 

GQ, 5 juillet 2013

 

Lire aussi :


IMMIGRATION: Quand Georges Marchais écrivait au Recteur de la mosquée de Paris en 1981

 

 

PS 17 juillet 2013 : échange de commentaires sous le même texte sur lepcf.fr  :

 

samedi 13 juillet 2013 à 00h03, par  Xuan
 

A propos de l’immigration, on sait depuis longtemps que la concurrence entre salariés conduit à la baisse des salaires.

L’attitude des communistes n’est pas de réclamer la fermeture des frontières ou de réduire l’immigration, mais de considérer les travailleurs immigrés comme partie intégrante de la classe ouvrière.
Ceci n’est ni du gauchisme ni de la social-démocratie mais l’expression pratique du mot d’ordre de Marx
"prolétaires de tous les pays unissez-vous !"


C’est ce qui nous distingue des fascistes, entre autres choses.
Mais si on reprend les discours de Le Pen au nom de la défense des salaires, non seulement on ne lui piquera pas un électeur mais on pourra remplacer la lecture de Marx par celle de Doriot.

Salutations fraternelles

 

mardi 16 juillet 2013 à 19h50, par  Gilles Questiaux

Il est certain que les communistes se donnent pour objectif d’unir la classe ouvrière, quelque soit la nationalité ou l’origine de ses éléments, il n’y a aucune ambiguïté sur ce point.

Mais peut-on sérieusement esquiver la pression à la baisse sur les salaires ? En période de croissance, on peut ignorer la contradiction, mais pas en période de crise chronique.

Quant à la question de l’intégration des travailleurs immigrés dans la classe ouvrière : la situation concrète est que les immigrants cherchent dans les pays développés un travail mieux payé, et l’ascension sociale, et non l’intégration la classe ouvrière, où ils se retrouvent relégués sans l’avoir voulu. Cette assimilation à la classe ouvrière nationale nécessite une prise de conscience complexe, et se fait donc lentement, par les luttes et les organisations ouvrières, et implique le deuil d’une part au moins des rêves initiaux de réussite et de richesse.

Il faut aussi savoir que les immigrés en général ne proviennent pas des classes les plus pauvres des pays de départ (sauf exception, quand l’importation de main d’œuvre était directement organisée par Renault ou Peugeot), qu’ils sont souvent diplômés (en particuliers ceux qui viennent de l’Est, mais pas que), et que le mode de vie de l’immigration est souvent clivé entre un quotidien dur avec le vécu d’une brutale exploitation ici, et une existence de notable un mois par an redistribuant son salaire multiplié par le pouvoir d’achat local, dans le pays d’origine.

Tout le monde a ses contradictions.

Quant à Doriot, je ne vois vraiment pas ce qu’il vient faire là. On peut se passer de ce genre d'allusion qui ne mènent qu'à l'hystérisation du débat.

 

 
vendredi 12 juillet 2013 à 18h48, par  Mireille Popelin
 

Bien d’accord avec cet article . Tu proposes de rompre avec " un certain nombre de lieux communs du discours de la gauche de la gauche" .Voilà un texte que j’approuve absolument ! Et sur l’immigration, il y en a des lieux communs ! Je dirais plutôt des réflexes de vieux militants cocos sur le racisme anti-arabe qui "date" , racisme qui existerait toujours , avec l’islamophobie. Depuis des années, on n’a pas résolu le problème. Et les intégristes se servent de cette faiblesse de la gauche , ils victimisent les immigrés et culpabilisent les "blancs " : coupables d’avoir été les colonisateurs ( ils ont raison ). Mais tous les blancs ne soutinrent pas la colonisation, ils luttèrent même contre, le PCF fut de ceux-là et il peut en être fier. C’est avec cette prise de conscience politique en Algérie que j’ai adhéré plus tard au PCF . Petite instit en Algérie en guerre, cela me valut une bombe dans notre garage, spécialement pour nous, moi surtout qui parlais trop !

Mais j’ai lutté et lutte encore contre les intégristes musulmans qui ont enfermé la population et l’ont communautarisée. Et bien lutté ! Avec les insultes ... de mon parti !
Avec ce qui se passe dans les pays arabes, je suis plutôt fière d’avoir vu juste et me réjouis des analyses de l’Huma sur les salafistes et frères musulmans . Bon. Il n’en est pas encore à bien voir ( ou plutôt il voit mais refuse de dire ) et dénoncer ces mêmes salafistes en France mais il y a des progrès, lents ...

Mais nous, comment avons-nous laissé cette minorité s’enfermer et se communautariser ainsi ? Et comment analyser cet enfermement ? Ce sera le thème de notre étude cet été avec mon cercle de chercheurs :


" Communauté ou société ? "


Je me régale à me préparer avec les analyses historiques des différentes organisations des sociétés . ( j’ai un recueil ) .
ET nous, comment arriver à "sortir" les immigrés de leur "communauté" ethnique et religieuse ??? Pour les inclure dans notre société et les intégrer dans notre combat de classe ?? Car ce sont eux qui sont le plus touchés par le chômage, avec le plus d’échec scolaire au départ ( il ne sert à rien de le nier ? ).
Il faudra bien avancer sur ce sujet sinon, nous n’arriverons pas à notre but , de vrais communistes : le socialisme .

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D
je crois qu'il va falloir un jour tordre définitivement le cou à cette confusion récurrente entre "frontières" et "fermeture des frontières."<br /> La frontière est un organe de la souveraineté qui permet la régularisations des échanges, indispensables avec l'extérieur, un peu comme l'épiderme notre premier organe je crois, le fait pour le corps humain. Sans épiderme nous mourons...<br /> Si nous parvenons un jour à sortir enfin de l'UE, nous en aurons besoin pour assurer la pérennité de notre révolution prolétarienne...
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G
<br /> Depuis l'évaporation du vote communiste continue, comme en témoigne les résultats de l'élection partielle de Valenciennes, dimanche dernier. on a vraiment l'impression que c'est le but recherché.<br /> Qunad on voit comment un Martelli, pseudo historien et vrai bureaucrate de Fabien, qui se procamme toujours communiste, sue la haine du communisme, on ne peut s'étonner de rien !<br />
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É
<br /> Il s'agit d'un point de vue intéressant sur ​​la politique de l'UE.<br />
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G
<br /> Malheuresement depuis le retrait d'André Gerin, on ne voit pas très bien qui va avoir l'estomac pour endosser un tel programme.<br />
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G
<br /> Contrairement à ce qu'à affirmé André Ciccodicola, rédac chef de l'Huma Dimanche à la l'Ag du PCF XXème hier, et, je le crains , dans l'HD, le sortant communiste à Brignoles n'avait pas été élu<br /> en 2012 dans une triangulaire, il avait obtenu 50,08% des voix au second tour contre le Fn. Et le candidat communiste, avec appui socialiste , a été éliminé dès le premier tour en 2013. En un an<br /> les communistes sont passés du rassemblement majoritaire à l'élimination. De quoi se poser des questions sur la pertinence de l'alliance avec le parti socialiste en ce moment. Sauf si on se met<br /> le tête dans le sable en inventant des triangulaires imaginaires.<br />
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