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Réveil Communiste

Qu'est-ce qui sonne faux dans la campagne mondiale sur le réchauffement climatique?

12 Août 2024 , Rédigé par Réveil Communiste Publié dans #Ce que dit la presse, #Théorie immédiate, #Impérialisme, #GQ, #Economie

Qu'est-ce qui sonne faux dans la campagne mondiale sur le réchauffement climatique?

Qu’est ce qui nous dérange dans la campagne alarmiste mondiale portant sur le réchauffement climatique ? Qu’est-ce qui cloche dans cette psychose planétaire ?

Indépendamment de la question scientifique en elle-même, il y a quelque chose qui sonne faux.

Les effets réels du réchauffement climatique, qu’il s’agisse du niveau des océans ou des changements de la biosphère, et qui sont observables à l’échelle de temps de la vie d’un individu humain sont plutôt faibles, voire infinitésimaux, et souvent discutables. Voilà qui devrait pousser à une gestion lente et sereine, par une bureaucratie internationale terne et efficace pour ce genre de question, sise à Genève. Et bien pas du tout : à chaque pic de température c’est la panique en boucle dans les médias, et les enfants de bonne famille effrayés par leurs propres cris refusent de faire des enfants à leur tour pour ne pas les jeter dans ce monde en « ébullition » comme le dit le secrétaire général de l’ONU.

La gestion court-termiste et spectaculaire de l'information s'avère complètement inadéquate pour penser et pour agir sur les phénomènes climatiques qui sont à notre échelle de très longue durée.

Mais essayons quand même de remettre la question à plat, et pour cela il faut l'analyser en plusieurs questions liées, mais bien distinctes. Sans chercher à y répondre, car il devrait y avoir des spécialistes compétents pour cela, et des réponses, il y a en a. Mais ce n'est pas évident pour nous, les masses, de distinguer ceux qui le sont de ceux qui ne le sont pas, ni des fraudeurs.

Y a-t-il un changement climatique ? Celui-ci est-il un phénomène nouveau, ou le climat change-t-il tout le temps ? Est-il exceptionnellement rapide ?

En quoi précisément est-il mauvais pour l'humanité et la planète qui l'héberge, et à quel échelle de temps ces maux se manifestent-ils ? Ce changement est-il catastrophique voire apocalyptique à l’échelle de l’histoire humaine, et/ou des temps géologiques ?

Ce changement s’il existe et s’il présente un caractère nouveau est-il dû aux activités humaines en partie ou en totalité ? Parmi ces activités, celles qui émettent des gaz à effet de serre sont-elles les principales ?

Si c’est vraiment le cas, à quand remonte cet impact catastrophique de l’humanité sur l’équilibre planétaire à l'échelle géologique : à l’ère industrielle (1870), à l’ère de la consommation de masse (1960) ... ou au Néolithique ? (5000 avant J.-C.) ? Sachant que quelques milliers d’années ne sont qu’un instant à l’échelle de temps donnée par la durée de l’existence de la planète et de la vie qu’elle héberge à sa surface.

Ce changement est-il la seule et surtout la principale menace écologique qui pèse sur l’avenir de l’humanité ? (Voir au cas par cas les CFC, les pesticides qui depuis le DDT sont  toujours bannis et toujours renouvelés, les nouveaux matériaux qui sont lancés sans jamais être testés sur leur impact global, polymères, plastiques, mousses innovantes et suspectes, médicaments, déchets radioactifs, etc.) ; et ce n’est pas l’agriculteur « bio » qui va nous sauver , car il s’attache principalement à faire la guerre aux industries chimiques qui se bornent à produire artificiellement des engrais minéraux qui existent déjà dans la nature, ou à répandre une terreur superstitieuse à l’encontre des OGM qui contrairement aux nouveaux composés chimiques ne présentent en eux-même aucun danger ni pour la santé ni pour la nature.

Il faut espérer qu’il existe maintenant sur la planète en quantité suffisante des savants à la tête froide, pour traiter toutes ces questions intriquées une par une, et pour mettre en perspective correcte les résultats, sans se laisser intimider par l’hystérie collective savamment entretenue par le bloc politico-médiatique qui gouverne, ou plutôt qui anime le capitalisme mondialisé - au moins en Occident. Et sans céder non plus à la tentation d’une contestation systématique de tous les faits mis en avant pour justifier les hypothèses de réchauffement climatique par une réaction d'irritation bien excusable devant ce qui confine à un bourrage de crâne systématique 24/7 et du berceau à la tombe. Le contraire d’une erreur n’est pas forcément une vérité.

Et il est une autre question, qui n’est pas scientifique mais politique, qui est celle du pourquoi de cette hystérie. D’où vient cette si grande sollicitude pour les générations futures de la part d’un capitalisme qui est bien incapable de planter des arbres pour leur fournir de l’ombre ?

Certaines hypothèses pourraient expliquer les tendances profondes de ce ton apocalyptique des pouvoirs bourgeois, de la bourgeoisie en tant que collectif humain international, et de ses intellectuels.

On pourrait l’interpréter comme le pressentiment qu’ils ont de leur fin prochaine qu’ils veulent évoquer comme fin du monde pour tous et partout.

Ou alors les thèmes écologistes extrémistes seraient devenus un argument de propagande pour entraver le développement du Sud qui a impérativement besoin pour y parvenir des énergies fossiles, de les consommer et de les exporter. Et pour justifier la poursuite de l’Empire occidental qui s’il ne produit pas assez d’énergie produit de l’idéologie et du spectacle en suffisance pour le monde entier.

Ou encore comme un outil pour culpabiliser les travailleurs et pour répandre dans les masses une éthique du sacrifice personnel - ou plutôt une posture individualiste d’un tel esprit de sacrifice qui ne sacrifie pas grand chose en réalité, pas même l’air conditionné.

Voire même certains le soupçonnent dans la continuité des confinements sanitaires de 2020 - 2021, la tentation de gouverner par la peur, assez semblable à la manipulation du terrorisme à cet effet qui semble avoir atteint ses limites après un demi siècle (1970 - 2020) de grande efficacité.

Tout se passe enfin comme si les élites de la « gouvernance » mondiale cherchaient à se pérenniser en utilisant ce prétexte, se présenter comme les garantes de l'intérêt général sans frontières, comme s’ils voulaient opérer la décarbonification de l’économie en lieu et place de la suppression du capitalisme. Comme si elles voulaient planifier la décroissance en préservant l’ordre social.

Au passage on observe aussi que les travailleurs sont très réticents à adhérer aux discours climatiques apocalyptiques sachant qu’ils seront les premiers impactés par les mesures coercitives imposées au public à la demande du consensus médiatique, à commencer par celles qui rendent presque impossible l’utilisation de l’automobile dans des territoires qui ont pourtant été remodelés pendant près d'un siècle avec la dernière énergie pour cet usage – plus un seul petit bourg en France sans sa ceinture de rocades, ronds-points, zones commerciales, où toute l'activité économique s'est repliée. Les travailleurs sont les plus opposés parmi tous les groupes sociaux aux mesures malthusiennes avancées prétendument pour préserver le climat, et les plus enclins à nier l’existence même du problème parce que ce sont eux qui vont payer la facture, et une agitation gauchiste épisodique à l’encontre des jets privés ne va pas rétablir l’équilibre en leur faveur. Le prolétariat périphérique des conducteurs de véhicule diesel s’oppose frontalement à la bourgeoisie métropolitaine en trottinette - électrique.

Il faut préciser que cette utilisation de la psychose entretenue du réchauffement climatique est spontanée et opportuniste et suit des lignes de moindre résistance de l ’idéologie dominante, celles qui sont compatibles au minimum et si possible favorables au maintien à long terme de la société de classe – c’est cela véritablement qu’il faut protéger. C’est au fond une fausse critique du capitalisme, une de plus, qui est promue et développée par les médias mainstream pour empêcher la prise de conscience de la nécessité du socialisme pour évaluer rationnellement  et résoudre tous les problèmes qui s’accumulent maintenant, et éventuellement ensuite les problèmes existentiels à très long terme de l’humanité et de sa planète.

Dans la guerre au réchauffement, et aux sous-développés « réchauffistes », c’est encore une fois du déclin du taux de profit dont il est question, et de la nécessité pour l'enrayer de bazarder une énorme proportion de capital fixe : usines, véhicules, bâtiments, ports, mines etc.

Décarboner signifie arithmétiquement appauvrir les masses et particulièrement si la hiérarchie sociale reste inchangée. Si on prélève moins de ressources dans la nature mais si les privilégiés en conservent pour eux toujours autant, la situation des classes opprimée s’aggrave considérablement, l'humanité européenne l'a déjà vécu dans la foulée de la crise démographique de la fin du Moyen Âge après la Peste Noire de 1348, quand les surplus alimentaires ont été réorientés du monde rural vers les oisifs vivant en ville, ou celle du Nouveau Monde quand il fut dévasté par la conquête ibérique quand les chevaux et les monastères remplacèrent en deux générations 90% des êtres humains.

Mais observons tout de même que les pays socialistes actuellement existants ne s’opposent nullement au consensus médiatico-scientifique redondant sur l’altération du climat, et qu’ils cherchent plutôt à s’appuyer sur les infléchissements de politique internationale qu’impliquent la lutte ou pseudo-telle contre le réchauffement climatique, pour atteindre leurs buts stratégiques : briser le blocus américain en s’appuyant sur les institutions internationales pour Cuba, prendre le capitalisme occidental à son propre piège en s’emparant du monopole industriel des nouvelles marchandises nécessaires pour produire et pour consommer les énergies décarbonées, pour ce qu’il en est de la Chine.

Ils ont l’air en réalité de fort peu s’en inquiéter. Ce serait donc une marotte de plus de la sphère idéologique folle et incontrôlable du capitalisme en crise terminale, ou même une tendance malthusienne autodestructrice de l'Occident, qui explique qu'il ait laissé si imprudemment délocaliser dans le Sud les bases matérielles de son économie. Peut-être devrions-nous faire comme eux et y prêter moins d’attention. Et éviter de l’utiliser comme un thème central de la lutte anticapitaliste, en ayant conscience que n’importe quel mode de production actuel, au vu des moyens et des technologies disponibles laissera à désirer sur ce plan. Pour raccourcir le propos, les pourfendeurs de bassines sont des ennemis de classe du prolétariat - même quand ils se font matraquer par les CRS de l'État bourgeois.

Pour finir sur une note plus tiède que chaude, mon opinion personnelle, ni très informée ni très originale sur la question mais qui en vaut bien une autre est la suivante : Il y a très probablement un réchauffement climatique en cours qui est rapide à l’échelle des temps géologiques. Ce réchauffement est probablement causé en grande partie par l’émission de gaz à effet de serre liés à l’activité humaine. Il pose un problème théorique préoccupant à long terme mais il ne représente pas de danger grave à court et à moyen terme ; or notre monde capitaliste est totalement incapable de gérer et même de comprendre rationnellement les problèmes à long terme, à moyen terme, et même ceux de la prochaine génération. ll faut donc le remplacer par la seule alternative qui existe réellement : le socialisme qui contrôle les moyens de production et qui planifie l'économie dans tous ses aspects.

C'est aussi pour reprendre tout le problème à zéro, et lui chercher des solutions s’il est vraiment urgent d'en trouver, sans subir la pressions des lobbies économiques ou idéologiques qu'il faut instaurer le socialisme qui est devenu une condition nécessaire à la poursuite de la recherche scientifique objective. Si on ne le fait pas, l’humanité risque de disparaître et d’ailleurs cela bien avant que les problèmes dus à l’altération du climat ne la rattrapent, à cause d’une guerre nucléaire, ou tout simplement parce que la force de travail n’est plus de nos jours payée à sa valeur, c’est à dire qu’elle n’est plus suffisamment rémunérée pour assurer le remplacement des générations.

GQ 5 août 2023, relu le 15 mai 2024

PS Comme l'ont remarqué des lecteurs, cet article s'il ne nie pas du tout le réchauffement climatique nie qu'il y ait une véritable "crise climatique" en cours à l'échelle de notre génération et des suivantes qui vivront dans ce siècle.

PPS On constatera que quand il est question de faire la guerre à la Russie, aux Palestiniens, ou éventuellement à la Chine et à l'Iran, toute considération écologique cesse subitement, y compris chez les écologistes patentés. Voilà qui montre bien l'ordre réel des priorités : c'est de l'impérialisme qu'il faut se débarrasser d'abord, et de tous les déchets à recycler au cours du XXIème siècle, le plus encombrant et le plus toxique, ce sont encore les États-Unis d'Amérique eux-mêmes.

 

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G
Le réchauffement climatique … « ne représente pas de danger grave à court et à moyen terme »<br /> 1/6/24. UTTAR PRADESH : 33 AGENTS MUNICIPAUX AUX MEURENT A CAUSE DE LA CHALEUR LE DERNIER JOUR DU SCRUTIN (N.B. : L’Uttar Pradesh est au nord de l’Inde).<br /> En Inde de nombreux morts à cause de vagues de chaleurs<br /> https://www.ouest-france.fr/monde/inde/en-inde-la-chaleur-tue-33-agents-au-dernier-jour-du-scrutin-dans-un-etat-9ad8ab86-20a3-11ef-83d6-6d19ce3cf72c<br /> GQ écrit : « Des changements de la biosphère, et qui sont observables à l’échelle de temps de la vie d’un individu humain sont plutôt faibles, voire infinitésimaux, et souvent discutables ». « Est-il exceptionnellement rapide ? »<br /> On voit dans cet exemple ci-dessus, que les indiens du Nord ont été tellement surpris de cette montée en température qu’ils n’ont pas changé d’habitudes de ne pas boire dans la journée et en sont morts<br /> On sait qu’approximativement cela remonte aux années de l’ère industrielle (1870), peut-être un peu avant car cela ne s’est pas fait en un jour ni en un an, l’aire industrielle.<br /> (les) « industries chimiques qui se bornent à produire artificiellement des engrais minéraux qui existent déjà dans la nature ». Hélas, c’est bien mal connaître l’industrie chimique et les patrons du capitalisme (ce que je n’arrive jamais à comprendre chez toi GQ) ; même les engrais ne sont pas forcément « existants dans la nature » ; on pourrait citer des milliers d’exemples qui s’inscrivent en faux :<br /> 1) Le nitrate d’ammonium, qui est un engrais très ordinaire, mais pas du tout naturel - composé avec la forme la plus oxydée de l’azote (+5) et son opposée, la forme la plus réduite du même azote (-3), qui peuvent se re-combiner extrêmement facilement avec un énorme dégagement d’énergie, fait régulièrement la une de la presse : Le 4 août 2020, vers 18h00, un entrepôt du port de Beyrouth contenant 2.750 tonnes de nitrate d'ammonium engendre la plus grande explosion urbaine depuis Hiroshima et Nagasaki, et e n’est pas la 1ère fois ; 21/9/2001 Toulouse 300 t de nitrate d’ammonium font 31 morts et 2.442 blessés. À Brest 17 h 25, ce 28 juillet 1947, L’océan Liberty et son chargement de nitrate d’ammonium, explosent, un débris va se ficher à Trémaouézan à 22 km.<br /> 2) Le triflorure de chlore, un produit créé en 1930, peut enflammer même le béton et creuser un trou d’un mètre de profondeur.<br /> 3) La catastrophe de Bhopal la nuit du 2 au 3 décembre 1984 en Inde. Elle est la conséquence de l'explosion d'une usine d'une filiale de la firme US Union Carbide produisant des pesticides et qui a dégagé 40 t d'isocyanate de méthyle dans l'atmosphère de la ville. L’une des pires catastrophes industrielles de l'histoire, cet accident tue officiellement 3 828 personnes, il fit en fait entre 20 000 et 25 000 morts selon les associations de victimes. Les patrons US qui ne sont pas si gentils que tu le crois, fabriquent leurs saloperies à l’étranger, les normes de sécurité sont beaucoup moins contraignantes, la main d’œuvre beaucoup moins chère, et s’il y a une catastrophe on indemnise pour quelques roupies et non des millions de US$, c’est tout bénef, sans compter les risques de se retrouver devant une juridiction judiciaire PÉNALES, comme dans l’affaire où est impliquée Mc Kinsey voir plus loin.<br /> 3) Plus généralement, les niveaux Seveso I, II et III. N’ont pas été demandés par le patronat, mais bien sur pression populaire suite à des catastrophes épouvantables (Seveso 10/7/76, herbicides, soude caustique, dioxine ; LE PATRONAT DE L’ENTREPRISE ETOUFFE L’AFFAIRE PENDANT 9 JOURS), avec toutes les cochonneries chimiques inventées et fabriquées par l’industrie chimique.<br /> <br /> « des savants à la tête froide et le capitalisme ? ! » Encore étrange comme raisonnement de GQ ! Comme s’il ne savait pas que comme les ouvriers, les « savants » sont soumis à la carotte et au bâton par le patronat, mais à la puissance 10 ! Tu te tais et tu fais ce pourquoi on te paye et tu es riche, soit tu parles et on te pourri la vie, on te met en procès pour des millions ou des milliards US$ (comme les chimistes qui ont dénoncé les dizaines de produits chimiques ajoutés dans une cigarette, entre autre pour rendre dépendant). Il peut y avoir aussi les « suicides », sans oublier qu’au contraire, ceux qui aident les patrons en niant démentant les informations réelles et sérieuses, ont des promotions et sont couverts d’or.<br /> Circonstance aggravante, de cabinets conseils sont utilisés pour développer l’usage de ces cochonneries comme McKinsey condamné aux USA mais adoré par Macron, pour avoir aidé les trusts pharmaceutiques à placer les opiacés et être impliqués dans la mort de 700.000 jeunes étasuniens. Il n’y a pas de coupure France entre la chimie, et d’une part l’agro-chimie et d’autre par la pharmacie.<br /> <br /> « Au passage on observe aussi que les travailleurs sont très réticents à adhérer aux discours climatiques apocalyptiques ». Ils n’ont pas la formation pour cela, et la pensée unique au service de l’oligarchie au pouvoir embrouille les gens pour dédouaner le patronat.<br /> <br /> « On constatera que quand il est question de faire la guerre à la Russie, aux Palestiniens, ou éventuellement à la Chine et à l'Iran, toute considération écologique cesse subitement, y compris chez les écologistes patentés »… Les Verts notamment allemands sont infiltrés par la CIA et sont donc pour la guerre nucléaire et contre le nucléaire civil. Lol. La lutte des classes passe par là aussi.<br /> <br /> N.B. : Cet hiver 2023-2024, il a été très peu possible de faire vraiment du ski alpin en France, entre autre, essentiellement une semaine fin février (les petits se sont satisfaits du peu qu’il y avait). Problème En Inde dans le Tamil Nadu, pas de neige non plus dans les montagnes ; dans l’Himalaya, pas de neige non plus ! Pas directement à cause du réchauffement là, il parait qu’il faisait froid, mais il n’y avait pas de précipitations. D’après ce que j’ai pu comprendre ? celles-ci arrivaient habituellement de la Méditerranée.
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R
On pourrait ajouter la fonte spectaculaire des glaciers en France et au Venezuela ou en 10 ans tous les nombreux glaciers ont totalement disparus
G
ONU Info. L’Afrique pâtit du changement climatique de manière disproportionnée :<br /> https://news.un.org/fr/story/2023/09/1138192<br /> Afrique australe : le PAM débloque plus de 12 millions de dollars pour lutter contre la sécheresse (c’est évidemment une somme infinitésimale face à l’urgence Note de Michel Gourmel) :<br /> https://news.un.org/fr/story/2023/09/1138197<br /> Sommet africain pour le climat :<br /> https://unfccc.int/fr/node/628765<br /> <br /> Il faut vraiment être extrêmement naïf sur les crimes abominables commis par le grand patronat de la chimie et aussi de l’agro-alimentaire – et les gouvernements valets à leur service - pour écrire :<br /> « et ce n’est pas l’agriculteur « bio » qui va nous sauver , car il s’attache principalement à faire la guerre aux industries chimiques qui se bornent à produire artificiellement des engrais minéraux qui existent déjà dans la nature, ou à répandre une terreur superstitieuse à l’encontre des OGM qui contrairement aux nouveaux composés chimiques ne présentent en eux-mêmeS aucun danger ni pour la santé ni pour la nature. »<br /> On sait parfaitement surtout si on habite – entre autre – dans la région lyonnaise ou Rouennaise (il y en a beaucoup d’autres) que les industries fabriquent des quantités de saloperies immondes ; se rappeler des industries chimiques allemandes pendant la guerre je ne citerai que IG Farben, mais il y en a bien d’autres, et cela s’est aggravé considérablement depuis 80 ans ! Quand à l’industrie agro-alimentaire, si il y a encore de rares personnes qui croient aux OGM, c’est à cause de campagnes de dénigrement utilisant des moyens démentielles que ces industries ont déclenché, avec l’aide des médias de la pensée unique, contre tous les honnêtes savants qui ont tenté de prévenir des dangers extraordinaires des OGM, sans parler des catastrophes engendrées en Inde ou en Afrique par l’utilisation d’OGM qui ne fonctionnaient pas « normalement » et qui ont créé des famines et entrainé de nombreux suicides car ces lobbies criminels refusent de rembourser dans ce cas.<br /> <br /> Et quand ce ne sont pas les grands groupes industriels fabricants qui polluent, ce sont ceux qui utilisent ces produits (ou parfois des individus), en ajoutant parfois la violence et même les crimes - surtout si ce sont de grands trusts - lorsque les petites gens se défendent contre les polluions rivières, air, bétail, cultures…. ! Exemple :<br /> L’or est le plus souvent présent en quantités infimes dans la structure réticulaire des minéraux rocheux. Les orpailleurs doivent utiliser du cyanure et du mercure pour extraire et lier la poussière d’or… et se foutent pas mal de polluer irrémédiablement l’environnement. Les gouvernements souvent envoient leur police ou leur armée pour mater la rébellion.<br /> https://www.sauvonslaforet.org/themes/or<br /> <br /> GQ écrit : « L’hystérie collective savamment entretenue par le bloc politico-médiatique qui gouverne, ou plutôt qui anime le capitalisme mondialisé ».<br /> Comme s’il ne savait pas que des gens comme Macron Biden ou autre mentent tout le temps sur tout ! Ils parlent écologie, mais n’en ont strictement rien à foutre, c’est comme quand ils parlent laïcité, voire services publics… s’appuyer sur ce qu’ils disent c’est construire sur des sables mouvants : Rien absolument Rien n’a le moindre sens ! C’est de la propagande électorale pour donner l’illusion qu’ils font quelque chose dans ce sens, mais leur but est uniquement d’utiliser leur pouvoir, pour être complices du patronat pour permettre à celui-ci d’amasser des richesses en pillant par tous les moyens les pays auxquels ils ont accès y compris le leur, car les autres se défendent de plus en plus.
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R
Bonjour GQ, il y plusieurs jours, j' ai poste une contribution, qu' est elle devenue ?
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R
Retard dans la gestion des commentaires, avec mes excuses
R
Il règne une grande confusion sur le changement climatique ainsi on confond allègrement un changement d ' ère qui s' effectue sur des milliers d' années avec des oscillations de température à l'intérieur de ces changements d' ères qui elles se passent sur quelques décennies.<br /> C' est vraisemblablement ce que nous subissons actuellement ou nous sommes dans une ère de réchauffement de la planète avec des pics de chaleur que nous connaissons depuis 20 ans dont nous pouvons mesurer les conséquences avec la fonte des pôles et des glaciers, la désertification et l' assèchement des mers fermées.<br /> Ces pics peuvent être passagers et laisser la place alternativement à des périodes de refroidissement, mais ces oscillations n'ont que peu d' influence sur la tendance générale qui aboutira à ce que nos descendants appelleront un changement d' ère et nommeront vraisemblablement l' ère du réchauffement climatique. <br /> <br /> La réchauffement climatique, c' est comme le lutte des classes, on peut nier sa réalité, il n' empêche qu' il existe.<br /> <br /> La même confusion règne lorsque l' on essaie de situer la responsabilité de ce changement climatique en désignant" l' activité humaine "... pour les pouvoirs capitalistes qui dominent le monde et les médias à leurs ordres, l' activité humaine concerne avant tout les individus... Pour eux il suffirait donc que chacun fasse un effort, par exemple en pratiquant le tri sélectif ou en baissant son chauffage pour pour mettre fin au réchauffement, exonerant ainsi le capitalisme de son écrasante responsabilite car par activité humaine, il faut entendre tout ce qui concerne la production industrielle, la surproduction agricole, les transports etc...<br /> La conclusion qui s'impose est donc que l' on mettra fin au réchauffement climatique et la destruction de la planète que lorsque nous en aurons fini avec le capitalisme et ouvert la voie à une société socialiste respectueuse des hommes et de la planète
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N
Je suis d'accord avec GQ, la prudence s'impose, même si la position du GIEC peut être discutée puisque sa position sur l'antropisme n'est pas démontrée par l'expérience scientifique. L'antropisme repose sur la coïncidence entre l'industrialisation et le réchauffement qui s"appuie, lui, sur des relevés objectifs de température. Or la coïncidence n'est pas une notion scientifique, et ne peut remplacer l'expérimentation.
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